Cell biology
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Les cellules de glioblastomes expriment une protéine fluorescente qui permet de visualiser la dynamique des microtubules (filaments de la cellule nécessaires à l’invasion des cellules de glioblastomes) alors que les cellules envahissent le tissu cérébral de la larve de poisson zébré. Les cellules des vaisseaux sanguins du poisson sont visibles en vert.
Institut Pasteur/Florent Péglion 63236
Cellules de glioblastomes in vivo -
Sphéroïde de cellules rénales cultivées in vitro. En vert, le pôle apical des cellules, et en rouge, leurs noyaux. En bleu, cils primaires ("antennes"), sortant des cellules par leurs pôles apicaux.
Modèle in vitro pour étudier les mécanismes d’acquisition de la polarité apico-basale au cours de la division cellulaire, lors la formation des organes.
Comprendre les mécanismes qui sous-tendent la mise en place de la polarité des cellules constitue une voie de recherche importante dans l’étude des processus de cancérisation.
Institut Pasteur/Arnaud Echard 60281
Sphéroïde de cellules rénales cultivées in vitro -
Cellules humaines infectées par Chlamydia trachomatis. Le noyau de chaque cellule est coloré en bleu, les bactéries en vert, la surface cellulaire en rouge.
Institut Pasteur/Sébastien Triboulet et Agathe Subtil 61766
Cellules humaines infectées par Chlamydia trachomatis -
Cellules neuronales humaine (lignées SK-N-SH) infectées par le virus de l’encéphalite Japonaise.
Les protéines d’enveloppe du virus JEV (en vert) sont majoritairement localisées dans le compartiment cytoplasmique des cellules neuronales infectées. Les protéines de capside du virus (en rose) colocalisent avec le noyau cellulaire (en bleu).
Alors que le cycle infectieux du JEV a lieu intégralement dans le compartiment cytoplasmique, nous montrons ici que certaines protéines virales transmigrent dans le noyau cellulaire au cours de l’infection.
Institut Pasteur/Justine Basset 58449
Cellules neuronales humaine infectées par le virus de l’encéphalite Japonaise -
Cellules neuronales humaines (lignée SK-N-SH) infectées par le virus West Nile.
Lorsque les neurones (en vert) sont infectés par le virus (en rouge), la superposition des couleurs donne une coloration jaune/orange. Quelques cellules non neuronales sont également infectées par le virus. Le noyau de toutes les cellules est coloré en bleu.
Institut Pasteur/Environnement et risques infectieux 58445
Cellules neuronales humaines infectées par le virus West Nile -
Cellules neuronales humaines (lignée SK-N-SH) infectées par le virus West Nile.
Lorsque les neurones (en rouge) sont infectés par le virus (en vert), la superposition des couleurs donne une coloration jaune/orange. Quelques cellules non neuronales sont également infectées par le virus. Le noyau de toutes les cellules est coloré en bleu.
Institut Pasteur/Nathalie Pardigon 58444
Cellules neuronales humaines infectées par le virus West Nile -
Cellules neuronales humaines (lignée SK-N-SH) infectées par le virus West Nile.
Lorsque les neurones (en rouge) sont infectés par le virus (en vert), la superposition des couleurs donne une coloration jaune/orange. Quelques cellules non neuronales sont également infectées par le virus. Le noyau de toutes les cellules est coloré en bleu.
Institut Pasteur/Nathalie Pardigon 58443
Cellules neuronales humaines infectées par le virus West Nile -
Cellules neuronales humaines (lignée SK-N-SH) infectées par le virus West Nile.
Lorsque les neurones (en rouge) sont infectés par le virus (en vert), la superposition des couleurs donne une coloration jaune/orange. Quelques cellules non neuronales sont également infectées par le virus. Le noyau de toutes les cellules est coloré en bleu.
Institut Pasteur/Nathalie Pardigon 58442
Cellules neuronales humaines infectées par le virus West Nile -
Cellules neuronales humaines (lignée SK-N-SH) infectées par le virus West Nile.
Lorsque les neurones (en rouge) sont infectés par le virus (en vert), la superposition des couleurs donne une coloration jaune/orange. Quelques cellules non neuronales sont également infectées par le virus. Le noyau de toutes les cellules est coloré en bleu.
Institut Pasteur/Nathalie Pardigon 58441
Cellules neuronales humaines infectées par le virus West Nile -
Cellules neuronales humaines (lignée SK-N-SH) infectées par le virus West Nile.
Lorsque les neurones (en vert) sont infectés par le virus (en rouge), la superposition des couleurs donne une coloration jaune/orange. Quelques cellules non neuronales sont également infectées par le virus. Le noyau de toutes les cellules est coloré en bleu.
Institut Pasteur/Environnement et risques infectieux 58440
Cellules neuronales humaines infectées par le virus West Nile -
Cellules neuronales humaines (lignée SK-N-SH) infectées par le virus West Nile.
Lorsque les neurones (en rouge) sont infectés par le virus (en vert), la superposition des couleurs donne une coloration jaune/orange. Quelques cellules non neuronales sont également infectées par le virus. Le noyau de toutes les cellules est coloré en bleu.
Institut Pasteur/Nathalie Pardigon 58439
Cellules neuronales humaines infectées par le virus West Nile -
Shigella flexneri infectant des cellules Hela. Les bactéries sont rouges par l’intégration d’un plasmide contenant « dsRed », le noyau de la cellule en bleu par ajout de Dapi, la protéine membranaire en vert « GFP » et les micropinosomes recrutés principalement au point d’infection marqués en infrarouge apparaissent ici en doré.
Microscope confocal Zeiss LSM 880.
La stratégie d’entrée et d’infection des cellules par Shigella est d’une complexité et stratégie particulièrement élaborée. Raison pour laquelle il est important d’en étudier et comprendre tous les mécanismes.
© Institut Pasteur/Dynamique des interactions hôte-pathogène 52324
Shigella flexneri infectant des cellules Hela. -
Shigella flexneri infectant des cellules Hela. Les bactéries sont rouges par l’intégration d’un plasmide contenant « dsRed », la protéine membranaire en vert « GFP » et les micropinosomes recrutés principalement au point d’infection marqués en infrarouge apparaissent ici en doré.
Microscope confocal Zeiss LSM 880.
La stratégie d’entrée et d’infection des cellules par Shigella est d’une complexité et stratégie particulièrement élaborée. Raison pour laquelle il est important d’en étudier et comprendre tous les mécanismes.
© Institut Pasteur/Dynamique des interactions hôte-pathogène 52741
Shigella flexneri infectant des cellules Hela -
Image en coupe d’une Shigella flexneri au cœur du foyer d’infection sur une cellule Hela. La bactérie en bleu, les micropinosomes en orange, l’actine en doré.
Imagerie corrélative confocal et électronique à balayage à faisceau d’ions focalisé (FIB/SEM), reconstruite avec le logiciel Amira.
La stratégie d’entrée et d’infection des cellules par Shigella est d’une complexité et stratégie particulièrement élaborée. Raison pour laquelle il est important d’en étudier et comprendre tous les mécanismes.
© Institut Pasteur/Dynamique des interactions hôte-pathogène 52687
Image en coupe d’une Shigella flexneri au cœur du foyer d’infection sur une cellule Hela -
Foyer d’infection de Shigella flexneri sur une cellule Hela, superposition de l’image en confocal (en bleu le noyau coloré en Dapi, en violet l’actine) et de la reconstruction FIB/SEM avec l’actine en doré.
Imagerie corrélative confocal et électronique à balayage à faisceau d’ions focalisé (FIB/SEM), reconstruite avec le logiciel Amira.
La stratégie d’entrée et d’infection des cellules par Shigella est d’une complexité et stratégie particulièrement élaborée. Raison pour laquelle il est important d’en étudier et comprendre tous les mécanismes.
© Institut Pasteur/Dynamique des interactions hôte-pathogène 52686
Foyer d’infection de Shigella flexneri sur une cellule Hela -
Image en coupe d’une Shigella flexneri au cœur du foyer d’infection sur une cellule Hela. La bactérie en bleu, les micropinosomes en orange, l’actine en vert.
Imagerie corrélative confocal et électronique à balayage à faisceau d’ions focalisé (FIB/SEM), reconstruite avec le logiciel Amira.
La stratégie d’entrée et d’infection des cellules par Shigella est d’une complexité et stratégie particulièrement élaborée. Raison pour laquelle il est important d’en étudier et comprendre tous les mécanismes.
© Institut Pasteur/Dynamique des interactions hôte-pathogène 52685
Image en coupe d’une Shigella flexneri au cœur du foyer d’infection sur une cellule Hela -
Image en coupe d’une Shigella flexneri au cœur du foyer d’infection sur une cellule Hela. La bactérie en bleu, les micropinosomes en orange, l’actine en gris.
Imagerie corrélative confocal et électronique à balayage à faisceau d’ions focalisé (FIB/SEM), reconstruite avec le logiciel Amira.
La stratégie d’entrée et d’infection des cellules par Shigella est d’une complexité et stratégie particulièrement élaborée. Raison pour laquelle il est important d’en étudier et comprendre tous les mécanismes.
Institut Pasteur/Dynamique des interactions hôte-pathogène 52683
Image en coupe d’une Shigella flexneri au cœur du foyer d’infection sur une cellule Hela -
Visualisation de la bactérie Shigella flexneri en imagerie FIB/SEM permettant de voir la vacuole autour de la bactérie ainsi que la cage d’actine et les micropinosomes (vésicules dispersées autour de l’ensemble au point d’infection).
Imagerie corrélative confocal et électronique à balayage à faisceau d’ions focalisé (FIB/SEM), reconstruite avec le logiciel Amira.
La stratégie d’entrée et d’infection des cellules par Shigella est d’une complexité et stratégie particulièrement élaborée. Raison pour laquelle il est important d’en étudier et comprendre tous les mécanismes.
© Institut Pasteur/Dynamique des interactions hôte-pathogène 52682_video
Visualisation de la bactérie Shigella flexneri en imagerie FIB/SEM -
Shigella flexneri infectant des cellules Hela. Les bactéries sont rouges par l’intégration d’un plasmide contenant « dsRed », la protéine membranaire en vert « GFP » et les micropinosomes recrutés principalement au point d’infection marqués en infrarouge apparaissent ici en doré. On voit également ici les vacuoles en vert autour des bactéries au centre venant d’infecter.
Microscope confocal à disques rotatifs Nikon/ Perkin ultraview.
La stratégie d’entrée et d’infection des cellules par Shigella est d’une complexité et stratégie particulièrement élaborée. Raison pour laquelle il est important d’en étudier et comprendre tous les mécanismes.
© Institut Pasteur/Dynamique des interactions hôte-pathogène 52606
Shigella flexneri infectant des cellules Hela -
Shigella flexneri infectant des cellules Hela. Les bactéries sont rouges par l’intégration d’un plasmide contenant « dsRed », la protéine membranaire en vert « GFP » et les micropinosomes recrutés principalement au point d’infection marqués en infrarouge apparaissent ici en dorés. On voit également ici les vacuoles en vert autour de certaines bactéries ainsi que des accumulations de cette même protéine créant une « queue de comète » à l’extrémité de la bactérie venant d’infecter.
Microscope confocal à disques rotatifs Nikon/ Perkin ultraview.
La stratégie d’entrée et d’infection des cellules par Shigella est d’une complexité et stratégie particulièrement élaborée. Raison pour laquelle il est important d’en étudier et comprendre tous les mécanismes.
Institut Pasteur/Dynamique des interactions hôte-pathogène 52605
Shigella flexneri infectant des cellules Hela