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Aisselle de pandanus : gîte à Aedes polynesiensis sur Île de Wallis en Polynésie.
© Institut Pasteur de Nouvelle-Calédonie 14098
Gîte à Aedes polynesiensis -
Aedes polynesiensis femelle. Île de Wallis en Polynésie.
© Institut Pasteur de Nouvelle-Calédonie 14101
Aedes polynesiensis femelle -
Coco rongé par les rats, type de gîte à Aedes polynesiensis. Ile de Wallis en Polynésie.
© Institut Pasteur de Nouvelle-Calédonie 14104
Gîte à Aedes polynesiensis en Nouvelle-Calédonie -
Coco rongés par les rats et terriers de crabes de terre Cardisoma carnifex : deux types de gîte à Aedes polynesiensis en Nouvelle-Calédonie.
© Institut Pasteur de Nouvelle-Calédonie - photo Laurent Guillaumot 14105
Gîte à Aedes polynesiensis en Nouvelle-Calédonie -
Microfilaire et oeufs du nématode Wuchereria bancrofti, dont le vecteur est un moustique. Ces filaires provoquent une inflammation du système lymphatique, puis un blocage conduisant à l'éléphantiasis.
© Institut Pasteur I00268
Microfilaire nématode Wuchereria bancrofti -
Larves évolutives de la filaire Wuchereria bancrofti dans les muscles alaires d'une femelle de moustique Aedes polynesiensis. Filaire lymphatique à l'origine d'une parasitose, l'éléphantiasis ou filariose lymphatique. Ces filaires sont transmises par des moustiques ici Aedes polynesiensis. Endémique en Polynésie française.
© Institut Pasteur I03920
Larves de Wuchereria bancrofti chez Aedes polynesiensis -
Microfilaire de Wuchereria bancrofti (goutte de sang humain), agent de la filariose lymphatique. Inflammation du système lymphatique puis obstruction conduisant à l'éléphantiasis. Coloration de May-Grünwald Giemsa.
© Institut Pasteur/François Rodhain I01526
Wuchereria bancrofti -
Filaire Loa Loa. Ver rond blanchâtre de 2 à 7 centimètres de long, mobile dans le tissu sous cutané. La femelle émet des microfilaires. Maladie exclusivement humaine, endémique des zones forestières centrafricaines, transmise par la piqûre de Chrysops ou mouche rouge femelle. Phase d'incubation silencieuse (hyperéosinophilie) puis prurit, oedème de Calabar fugace avec possibles complications neurologiques.
© Institut Pasteur I00265
Filaire Loa Loa -
Filaire Loa Loa. Ver rond blanchâtre de 2 à 7 centimètres de long, mobile dans le tissu sous cutané. La femelle émet des microfilaires. Maladie exclusivement humaine, endémique des zones forestières centrafricaines, transmise par la piqûre du chrysops ou mouche rouge (taon) femelle. Phase d'incubation silencieuse (hyperéosinophilie) puis prurit, oedème de Calabar fugace avec possibles complications neurologiques. Image colorisée.
© Institut Pasteur I04870
Filaire Loa Loa -
Coupe histologique d'un moustique femelle hébergeant des larves de Wuchereria Bancrofti ou filaire de Bancroft (flèches) dans son thorax. Ces parasites ont été ingérés lors d'un repas de sang de l'insecte sur un malade. Au départ, les larves infestantes sont transmises à l'homme par un ver blanc allongé, cause d'éléphantiasis, d'obstruction lymphatique et de chylurie.
© Institut Pasteur/Anna-Bella Failloux I04185
Larves de filaires de Bancroft dans thorax de moustique femelle -
Larves et nymphes de simulies ou mouche noire, vecteur de l'onchocercose. La simulie pond ses oeufs dans les eaux de rivières à courant rapide. Les simulies adultes qui émergent au bout de 8 à 12 jours ont une espérance de vie atteignant quatre semaines.
© Institut Pasteur I02655
Larves et nymphes de simulies -
Patient présentant un nodule onchocerquien sous cutané. L'onchocercose ou cécité des rivières est dûe à un nématode parasite d'Afrique centrale et d'Amérique du sud, l'onchocerque volvulus, transmis par la piqûre d'une mouche, la simulie.
© Institut Pasteur I02654
Patient atteint d'onchocercose -
Coupe de nodule onchocerquien (onchocercose ou cécité des rivières). Ces nodules apparaissent seulement un ou deux ans après la piqûre infectieuse de départ en même temps que des prurits et des lymphoadénopathies. Ils se situent sur les proéminences osseuses bien éclairées et contiennent des filaires adultes mâles et femelles. Ces dernières produisent les microfilaires.
© Institut Pasteur/François Rodhain I02653
Coupe de nodule onchocerquien -
Coupe de peau d'onchocerquien (onchocercose ou cécité des rivières) avec microfilaires.
© Institut Pasteur/François Rodhain I02651
Coupe de peau d'onchocerquien -
Fûts aux environs de Kouaoua : gîtes à moustiques du genre Aedes, vecteurs potentiels de la dengue et de la flariose lymphatique dite de Bancroft. Nouvelle-Calédonie.
© Institut Pasteur/François Rodhain I02622
Gîtes à moustiques du genre Aedes : fûts -
Extraction d'une filaire de Médine, Dracunculus medinensis (ver de Guinée). Parasitose des régions intertropicales rurales du golfe de Guinée jusqu'au Gange. Le ver blanc de 50 cm à 1 mètre entraîne une ulcération du tissu sous cutané du pied ou de la cheville de l'hôte définitif, homme ou animal domestique. Chaque femelle adulte peut expulser au contact de l'eau 2 à 3 millions d'embryons ou microfilaires, ingérés par l'hôte intermédiaire, le cyclops, crustacé d'eau douce. L'homme à son tour boit l'eau contenant le crustacé parasité.
© Institut Pasteur I01527
Extraction d'une filaire -
Microfilaire Wuchereria bancrofti, agent de la filariose lymphatique. Inflammation du système lymphatique puis obstruction conduisant à l'éléphantiasis.
© Institut Pasteur I00676
Microfilaire de Bancroft -
Chromosome de la simulie Simulium damnosum. En piquant l'homme cette mouche noire transmet un nématode filaire, Onchocerca volvulus, qui provoque l'onchocercose ou cécité des rivières.
© Institut Pasteur I02267
Chromosome de Simulium damnosum -
Simulie dite aussi mouche noire en train de piquer. Vecteur de l'onchocercose (filariose) ou cécité des rivières. Le microfilaire Onchocerca volvulus hôte des terres humides africaines est transmis par la pîqûre de la simulie à l'homme et entraîne de graves lésions cutanées et une cécité irréversible en phase finale.
© Institut Pasteur I04541
Simulie -
Aedes polynesiensis. Moustique, vecteur de la larve infestante de la filaire de Bancroft (Wurchereria bancrofti), agent causal de la filariose lymphatique ou elephantiasis. Existe principalement en Polynésie française.
© Institut Pasteur I04264
Aedes polynesiensis