Microbiota

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  • Lactobacillus animalis
    Lactobacillus animalis. Souche bactérienne (réf. CIP 103152) conservée au Centre de Ressources Biologiques de l'Institut Pasteur.
    Lactobacilles, présents naturellement chez l'homme et l'animal, occupant la plupart du temps la cavité buccale.

    Institut Pasteur/Centre de Ressources Biologiques de l'Institut Pasteur (CRBIP) - Jean-Marc Panaud I05659
    Lactobacillus animalis

     

  • Bacteroides fragilis
    Bacteroides fragilis. Bactéries anaérobies strictes. Hôtes des cavités naturelles de l'homme (tube digestif, par exemple), responsables de septicémies secondaires post-opératoires ou d'infections gynécologiques.
    Institut Pasteur/Maurice Lesourd I02589
    Bacteroides fragilis

     

  • Streptococcus gallolyticus en microscopie électronique à transmission
    Coupe de Streptococcus gallolyticus en microscopie électronique à transmission. Barre d'échelle : 500 nm.
    Streptococcus gallolyticus est une bactérie de la flore intestinale présente chez environ 10% de la population humaine. Face à un système immunitaire affaibli ou fragile, elle peut devenir pathogène. Elle constitue notamment une cause émergente de septicémie et d’endocardite chez les personnes âgées. De plus, des études épidémiologiques révèlent une forte association, s’élevant jusqu’à 65%, entre les endocardites à S. gallolyticus et le cancer du côlon.

    © Institut Pasteur/Acquisition en MET : Nadège Cayet - Plate-forme de microscopie ultrastructurale PFMU, Imagopole / Philippe Glaser - Laboratoire Evolution et génomique bactériennes 27842
    Streptococcus gallolyticus en microscopie électronique à transmission

     

  • Bactérie symbiotique (rouge) attachée à l'intestin (en blanc)
    Bactérie symbiotique (rouge) attachée à l'intestin (en blanc).
    © Institut Pasteur/Gérard Eberl 30093
    Bactérie symbiotique (rouge) attachée à l'intestin (en blanc)

     

  • Bacteroides fragilis
    Bacteroides fragilis. Bactéries anaérobies strictes. Hôtes des cavités naturelles de l'homme (tube digestif, par exemple), responsables de septicémies secondaires post-opératoires ou d'infections gynécologiques. Image colorisée.
    Institut Pasteur/Maurice Lesourd 39199
    Bacteroides fragilis

     

  • Colon murin, bactéries et levures
    Colon murin dont le noyau des cellules est marqué en bleu, les cellules elles-mêmes en vert, et les bactéries en rouge (par coloration de leur ARN ribosomique). D'autres cellules colorées en bleu et vert, probablement des levures, sont visibles dans la lumière intestinale (moitié bas-gauche).
    © Institut Pasteur/Gérard Eberl 39289
    Colon murin, bactéries et levures

     

  • Colon murin, bactéries et levures
    Colon murin dont le noyau des cellules est marqué en bleu, les cellules elles-mêmes en vert, et les bactéries en rouge (par coloration de leur ARN ribosomique). D'autres cellules colorées en bleu et vert, probablement des levures, sont visibles dans la lumière intestinale (moitié bas-gauche).
    © Institut Pasteur/Gérard Eberl 39292
    Colon murin, bactéries et levures

     

  • Colon murin et bactéries
    Colon murin dont le noyau des cellules est marqué en bleu, les cellules elles-mêmes en vert, et les bactéries en rouge (par coloration de leur ARN ribosomique).
    © Institut Pasteur/Gérard Eberl 39296
    Colon murin et bactéries

     

  • Cellules de l'intestin grêle murin et bactéries
    Intestin grêle murin dont le noyau des cellules est marqué en bleu, les cellules elles-mêmes en vert, et les bactéries en rouge (par coloration de leur ARN ribosomique).
    © Institut Pasteur/Gérard Eberl 39299
    Cellules de l'intestin grêle murin et bactéries

     

  • Cellules de l'intestin grêle murin et bactéries
    Intestin grêle murin dont le noyau des cellules est marqué en bleu, les cellules elles-mêmes en vert, et les bactéries en rouge (par coloration de leur ARN ribosomique).
    © Institut Pasteur/Gérard Eberl 39300
    Cellules de l'intestin grêle murin et bactéries

     

  • Colon murin et bactéries
    Colon murin dont le noyau des cellules est marqué en bleu, les cellules elles-mêmes en vert, et les bactéries en rouge (par coloration de leur ARN ribosomique).
    © Institut Pasteur/Gérard Eberl 39675
    Colon murin et bactéries

     

  • Interaction Aspergillus fumigatus et Pseudomonas aeruginosa observée en microscopie électronique à balayage.
    Interaction Aspergillus fumigatus et Pseudomonas aeruginosa observée en microscopie électronique à balayage. La bactérie se fixe le long du mycélium et émet des filaments augmentant son adhésion. Cette étude montre que ces deux microorganismes du microbiote pulmonaire sont capables de former une communauté mixte bactérie-champignon.
    Institut Pasteur/Benoît Briard et Anne Beauvais - unité des Aspergillus, Perrine Bomme - Plate-Forme de Microscopie ultrastructurale, colorisation Jean-Marc Panaud 42054
    Interaction Aspergillus fumigatus et Pseudomonas aeruginosa observée en microscopie électronique à balayage.

     

  • Interaction Aspergillus fumigatus et Pseudomonas aeruginosa, deux microorganismes du microbiote pulmonaire, observée en microscopie électronique à balayage
    Interaction Aspergillus fumigatus et Pseudomonas aeruginosa, deux microorganismes du microbiote pulmonaire, observée en microscopie électronique à balayage. La bactérie se fixe le long du mycélium et sur la matrice extracellulaire formée par le champignon. Cette interaction résulte en la formation d'un biofilm mixte composé de matrice extracellulaire englobant le champignon et la bactérie.
    Institut Pasteur/Benoît Briard - unité des Aspergillus, Perrine Bomme - Plate-Forme de Microscopie ultrastructurale, colorisation Jean-Marc Panaud 42120
    Interaction Aspergillus fumigatus et Pseudomonas aeruginosa, deux microorganismes du microbiote pulmonaire, observée en microscopie électronique à balayage

     

  • Dans le colon de souris, un amas de cellules de type 3 (en vert).
    Dans le colon de souris, un amas de cellules de type 3 (en vert). Ces cellules sont induites par le microbiote et bloquent les réactions allergiques (de type 2).
    Communiqué de presse : : www.pasteur.fr/fr/institut-pasteur/presse/documents-presse/comment-le-microbiote-bloque-les-allergies/

    © Institut Pasteur/Gérard Eberl 48945
    Dans le colon de souris, un amas de cellules de type 3 (en vert).

     

  • Bactéries filamenteuses segmentées (SFB) en microscopie électronique à balayage.
    Bactéries filamenteuses segmentées (SFB) en microscopie électronique à balayage.
    Les bactéries filamenteuses segmentées (SFB) sont des bactéries de la famille des Clostridiales qui colonisent l'intestin de nombreuses espèces et probablement aussi celui de l'Homme, sans provoquer de maladies : elles vivent en symbiose avec les cellules épithéliales et sont nécessaires à la maturation de la barrière immune intestinale.

    Institut Pasteur et Institut Imagine 50133
    Bactéries filamenteuses segmentées (SFB) en microscopie électronique à balayage.

     

  • Bactéries filamenteuses segmentées (SFB) ancrées dans les cellules épithéliales de l'intestin.
    Bactéries filamenteuses segmentées (SFB) ancrées dans les cellules épithéliales de l'intestin.
    Les bactéries filamenteuses segmentées (SFB) sont des bactéries de la famille des Clostridiales qui colonisent l'intestin de nombreuses espèces et probablement aussi celui de l'Homme, sans provoquer de maladies : elles vivent en symbiose avec les cellules épithéliales et sont nécessaires à la maturation de la barrière immune intestinale.

    Institut Pasteur et Institut Imagine 50136
    Bactéries filamenteuses segmentées (SFB) ancrées dans les cellules épithéliales de l'intestin.

     

  • Photomontage montrant la croissance du champignon Aspergillus fumigatus seul (à gauche) et avec la bactérie Pseudomonas aeruginosa (à droite).
    Photomontage montrant la croissance du champignon Aspergillus fumigatus seul (à gauche) et avec la bactérie Pseudomonas aeruginosa (à droite).
    Les chercheurs de l’équipe de Jean-Paul Latgé, directeur de l’unité des Aspergillus à l’Institut Pasteur, ont démontré que le champignon Aspergillus fumigatus était capable de se nourrir de composés organiques volatiles libérés par la bactérie Pseudomonas aeruginosa. Les chercheurs ont identifié que le composé organique volatile produit par les bactéries et responsable majoritairement de la stimulation de la croissance fongique était le sulfure de diméthyle. Son assimilation permet au champignon de combler le déficit en soufre libre rencontré dans la sphère pulmonaire alors que cet élément est absolument nécessaire pour la croissance végétative de A. fumigatus.
    Ces résultats suggèrent que le soufre volatil produit et libéré suite à une infection par P. aeruginosa pourrait favoriser l’installation du pathogène fongique. Les résultats de l’unité des Aspergillus montrent que la communication à distance par volatiles interposés est un nouveau paramètre à prendre en compte pour comprendre la complexité du déroulement d’une infection et du rôle du microbiome dans son établissement.

    © Institut Pasteur/Christoph Heddergott, Benoit Briard et Jean-Paul Latgé 50886
    Photomontage montrant la croissance du champignon Aspergillus fumigatus seul (à gauche) et avec la bactérie Pseudomonas aeruginosa (à droite).

     

  • Colon murin, bactéries et levures
    Colon murin dont le noyau des cellules est marqué en bleu, les cellules elles-mêmes en vert, et les bactéries en rouge (par coloration de leur ARN ribosomique). D'autres cellules colorées en bleu et vert, probablement des levures, sont visibles dans la lumière intestinale.
    © Institut Pasteur/Gérard Eberl 50976
    Colon murin, bactéries et levures

     

  • Bactéries et levures dans un intestin de souris.
    Bactéries (en rouge) et levures (en bleu) dans un intestin de souris.
    Institut Pasteur/Gérard Eberl 50977
    Bactéries et levures dans un intestin de souris.

     

  • Bactéries Enterococcus hirae en microscopie électronique à balayage
    Bactéries Enterococcus hirae en microscopie électronique à balayage.
    Des chercheurs de l’Institut Pasteur, en collaboration avec l’Institut Gustave-Roussy, ont identifié deux espèces bactériennes de notre organisme, Enterococcus hirae et Barnesiella intestinihominis, qui potentialisent l’effet d’un traitement courant de chimiothérapie : le cyclophosphamide.
    Enterococcus hirae renforce la réponse immunitaire naturelle de l’organisme contre la tumeur. Cet effet bénéfique de l’entérocoque est transitoire mais Barnesiella maintient cette réponse sur le long terme.

    © Institut Pasteur/Chantal Ecobichon avec l'Ultrapole 51105
    Bactéries Enterococcus hirae en microscopie électronique à balayage