• Cellules de glioblastomes in vivo
    Les cellules de glioblastomes expriment une protéine fluorescente qui permet de visualiser la dynamique des microtubules (filaments de la cellule nécessaires à l’invasion des cellules de glioblastomes) alors que les cellules envahissent le tissu cérébral de la larve de poisson zébré. Les cellules des vaisseaux sanguins du poisson sont visibles en vert.
    Institut Pasteur/Florent Péglion 63236
    Cellules de glioblastomes in vivo

     

  • Visualisation des différents amas de différents clones de cellules cancéreuses.
    Des chercheurs de l’Institut Pasteur et de l’Inserm, ont capté par vidéo in vivo l’action des cellules immunitaires lors de la prolifération de cellules cancéreuses, grâce à un marquage élaboré de coloration spécifique.
    Cette vidéo illustre comment les sous-clones de la tumeur marqués chacun par une couleur différente (bleu, orange ou vert) se développent au sein de la moelle osseuse. Les vaisseaux apparaissent en blanc.

    Institut Pasteur/Philippe Bousso 61346_video
    Visualisation des différents amas de différents clones de cellules cancéreuses.

     

  • Visualisation de l’action des cellules immunitaires colorées
    Des chercheurs de l’Institut Pasteur et de l’Inserm, ont capté par vidéo in vivo l’action des cellules immunitaires lors de la prolifération de cellules cancéreuses, grâce à un marquage élaboré de coloration spécifique.
    Cette vidéo représente en gris les cellules tumorales. En violet, les cellules T spécifiques de la tumeur, ont des contacts avec les cellules cancéreuses et les détruisent. Les cellules tuées apparaissent en bleu. En vert, les cellules de contrôle circulent mais ne tuent pas les cellules tumorales.

    Institut Pasteur/Philippe Bousso 61345_video
    Visualisation de l’action des cellules immunitaires colorées

     

  • Image produite avec ANNAPALM
    Observation avec ANNAPALM de cellules U-373 MG (glioblastomes humains) dont les microtubules ont été marqués par fluorescence.
    ANNAPALM est une méthode informatique pour augmenter la résolution spatio-temporelle de la microscopie optique qui peut être utilisé pour imager des milliers de cellules à des échelles allant de 20 nm à 2 mm.

    Institut Pasteur/Imagerie et Modélisation 56276
    Image produite avec ANNAPALM

     

  • Hybridation génomique comparative de carcinomes hépatocellulaires sur plaques métaphasiques
    Hybridation génomique comparative de carcinomes hépatocellulaires (CHC) sur plaques métaphasiques.
    Cette technique permet d'identifier les pertes (en vert) et gains (en rouge) de régions chromosomiques à partir de l'ADN issu des tumeurs, les centromères apparaissent en bleu.

    © Institut Pasteur/Agnès Marchio 56041
    Hybridation génomique comparative de carcinomes hépatocellulaires sur plaques métaphasiques

     

  • Hybridation génomique comparative de carcinomes hépatocellulaires sur plaques métaphasiques
    Hybridation Génomique Comparative de carcinomes hépatocellulaires (CHC) sur plaques métaphasiques.
    Cette technique permet d'identifier les pertes (en vert) et gains (en rouge) de régions chromosomiques à partir de l'ADN issu des tumeurs, les centromères apparaissent en bleu

    Institut Pasteur/Agnès Marchio 56040
    Hybridation génomique comparative de carcinomes hépatocellulaires sur plaques métaphasiques

     

  • Bactéries Enterococcus hirae en microscopie électronique à balayage
    Bactéries Enterococcus hirae en microscopie électronique à balayage.
    Des chercheurs de l’Institut Pasteur, en collaboration avec l’Institut Gustave-Roussy, ont identifié deux espèces bactériennes de notre organisme, Enterococcus hirae et Barnesiella intestinihominis, qui potentialisent l’effet d’un traitement courant de chimiothérapie : le cyclophosphamide.
    Enterococcus hirae renforce la réponse immunitaire naturelle de l’organisme contre la tumeur. Cet effet bénéfique de l’entérocoque est transitoire mais Barnesiella maintient cette réponse sur le long terme.

    Institut Pasteur/Chantal Ecobichon avec l'Ultrapole 53328
    Bactéries Enterococcus hirae en microscopie électronique à balayage

     

  • Bactéries Enterococcus hirae en microscopie électronique à balayage
    Bactéries Enterococcus hirae en microscopie électronique à balayage.
    Des chercheurs de l’Institut Pasteur, en collaboration avec l’Institut Gustave-Roussy, ont identifié deux espèces bactériennes de notre organisme, Enterococcus hirae et Barnesiella intestinihominis, qui potentialisent l’effet d’un traitement courant de chimiothérapie : le cyclophosphamide.
    Enterococcus hirae renforce la réponse immunitaire naturelle de l’organisme contre la tumeur. Cet effet bénéfique de l’entérocoque est transitoire mais Barnesiella maintient cette réponse sur le long terme.

    © Institut Pasteur/Chantal Ecobichon avec l'Ultrapole 51105
    Bactéries Enterococcus hirae en microscopie électronique à balayage

     

  • Chromosomes métaphasiques et caryotype d’une cellule lymphoïde cancéreuse.
    Au cours du développement lymphocytaire, le processus de recombinaison V(D)J peut, en cas de défaut de réparation de l’ADN, induire une instabilité génomique et le développement de lymphomes/leucémies.
    Afin d’identifier les translocations spécifiques de tumeurs obtenues dans différents modèles murins, le caryotype des cellules tumorales est établi en marquant les chromosomes par multi FISH (Fluorescent In Situ Hybridization). Une fausse couleur est attribuée à chaque paire de chromosomes marquée avec une combinaison de sondes spécifiques, permettant ainsi leur identification. Cette tumeur présente ici des translocations impliquant les chromosomes 12 (porteur du locus Igh codant pour la chaine lourde des anticorps), 15 (porteur de l’oncogène c-myc) et 6 (porteur du locus Igk codant pour la chaine légère des anticorps).
    Image prise avec un microscope à fluorescence ZEISS AxioImager Z2 (Objectif X63) et analysée avec le logiciel Isis (Metafer).

    © Institut Pasteur/Chloé Lescale (Laboratoire de Ludovic Deriano) 50935
    Chromosomes métaphasiques et caryotype d’une cellule lymphoïde cancéreuse.

     

  • Chromosomes métaphasiques d’une cellule lymphoïde cancéreuse présentant une amplification des gènes Igh et c-myc
    Des modèles de souris présentant une déficience héréditaire de la voie de réparation NHEJ (Non Homologous End Joining) et déficientes pour le gène suppresseur de tumeurs p53 développent des tumeurs pro-B caractéristiques, présentant des translocations et amplifications impliquant le locus Igh (codant pour la chaîne lourde des Immunoglobulines) et l’oncogène c-myc.
    Ces amplicons sont détectés ici par FISH (Fluorescent In Situ Hybridization) en utilisant des sondes spécifiques des loci Igh (en rouge) et c-myc (en vert). L’ADN est marqué avec du DAPI (en bleu).
    Image prise avec un microscope à fluorescence ZEISS AxioImager Z2 (Objectif X63) et analysée avec le logiciel Isis (Metafer).

    © Institut Pasteur/Chloé Lescale (Laboratoire de Ludovic Deriano) 50162
    Chromosomes métaphasiques d’une cellule lymphoïde cancéreuse présentant une amplification des gènes Igh et c-myc

     

  • Chromosomes métaphasiques d’une cellule lymphoïde cancéreuse
    Au cours du développement lymphocytaire, le processus de recombinaison V(D)J peut, en cas de défaut de réparation de l’ADN, induire une instabilité génomique et le développement de lymphomes/leucémies. Afin d’identifier les translocations spécifiques de tumeurs obtenues dans différents modèles murins, le caryotype des cellules tumorales est établi en marquant les chromosomes par multi FISH (Fluorescent In Situ Hybridization). Une fausse couleur est attribuée à chaque paire de chromosomes marquée avec une
    combinaison de sondes spécifiques, permettant ainsi leur identification.
    Cette tumeur présente ici des translocations impliquant les chromosomes 12 (porteur du locus Igh codant pour la chaine lourde des anticorps), 15 (porteur de l’oncogène c-myc) et 6 (porteur du locus Igk codant pour la chaine légère des anticorps).
    Image prise avec un microscope à fluorescence ZEISS AxioImager Z2 (Objectif X63) et analysée avec le logiciel Isis (Metafer).

    Institut Pasteur/Chloé Lescale (Laboratoire de Ludovic Deriano) 50160
    Chromosomes métaphasiques d’une cellule lymphoïde cancéreuse

     

  • Cytosquelette d'un gliome en migration.
    Cytosquelette d'un gliome en migration. Image SIM-3D du cytosquelette d'un gliome en migration. Les microtubules sont marqués en jaune, la vimentine en rouge et l'actine en cyan.
    Institut Pasteur/Cécile Leduc et Sandrine Etienne-Manneville 47040
    Cytosquelette d'un gliome en migration.

     

  • Adénocarcinome de la prostate.
    Image d'une tumeur de la prostate. En bleu, les cellules tumorales (cancéreuses), en rouge, le stroma tumoral (capsule fibreuse) formée par des cellules de « soutien ».

    © Institut Pasteur/Lucie Peduto, Microenvironnement et immunité 45479
    Adénocarcinome de la prostate.

     

  • Cytosquelette de vimentine d'un gliome (lignée U373) cultivé in vitro et observé par microscopie de super-résolution STORM
    Cytosquelette de vimentine d'un gliome (lignée U373) cultivé in vitro et observé par microscopie de super-résolution STORM (taille : 12x17 µm²).
    Le réseau de filaments intermédiaires, dont fait partie la vimentine, joue potentiellement un rôle important dans le caractère invasif des cancers du cerveau (gliomes). Les images de super-resolution permettent de mieux comprendre l'architecture interne du réseau et comment il se superpose aux autres types de cytosquelette.

    Institut Pasteur/Cécile Leduc, unité Polarité Cellulaire Migration et Cancer. Acquisition à la Plate-Forme d'Imagerie Dynamique. 40904
    Cytosquelette de vimentine d'un gliome (lignée U373) cultivé in vitro et observé par microscopie de super-résolution STORM

     

  • Les mitochondries dans le cancer du colon humain
    Reconstruction en 3-Dimensions d'une coupe de cancer du colon humain illuminée en fluorescence avec les noyaux des cellules en bleu, les mitochondries ("batteries énergétiques" des cellules) en vert et le réseau d'actine qui constitue le cytosquelette des cellules en rouge.
    Les mitochondries fonctionnent au ralenti dans les cancers et font l'objet de nombreuses études pour développer des kits de diagnostic et des thérapies anti-cancer en les ciblant.

    Institut Pasteur/Laurent Chatre, unité de Génétique Moléculaire des Levures en collaboration avec Prof. Fabrice Chrétien, Unité d'Histopathologie humaine et modèles animaux. 40900
    Les mitochondries dans le cancer du colon humain

     

  • Les mitochondries dans le cancer du colon humain
    Reconstruction en 3-Dimensions d'une coupe de cancer du colon humain illuminée en fluorescence avec les noyaux des cellules en bleu, les mitochondries ("batteries énergétiques" des cellules) en vert et le réseau d'actine qui constitue le cytosquelette des cellules en rouge.
    Les mitochondries fonctionnent au ralenti dans les cancers et font l'objet de nombreuses études pour développer des kits de diagnostic et des thérapies anti-cancer en les ciblant.

    © Institut Pasteur/Laurent Chatre, unité de Génétique Moléculaire des Levures en collaboration avec Prof. Fabrice Chrétien, unité d'Histopathologie humaine et modèles animaux. 40898
    Les mitochondries dans le cancer du colon humain

     

  • Les mitochondries dans le cancer du colon humain
    Reconstruction en 3-Dimensions d'une coupe de cancer du colon humain illuminée en fluorescence avec les noyaux des cellules en bleu, les mitochondries ("batteries énergétiques" des cellules) en vert et le réseau d'actine qui constitue le cytosquelette des cellules en rouge.
    Les mitochondries fonctionnent au ralenti dans les cancers et font l'objet de nombreuses études pour développer des kits de diagnostic et des thérapies anti-cancer en les ciblant.

    Institut Pasteur/Laurent Chatre, unité de Génétique Moléculaire des Levures en collaboration avec Prof. Fabrice Chrétien, Unité d'Histopathologie humaine et modèles animaux. 40896
    Les mitochondries dans le cancer du colon humain

     

  • Marquage d'une tumeur maligne du sein.
    Marquage d'une tumeur maligne du sein.
    © Institut Pasteur/Léna Edelman 36734
    Marquage d'une tumeur maligne du sein.

     

  • Structure du domaine en doigt de zinc de la protéine NEMO
    Structure du domaine en doigt de zinc de la protéine NEMO, déterminée par Résonance magnétique nucléaire (RMN).
    Cette protéine jouant un rôle dans des maladies (cancer, inflammation), les connaissances acquises sur sa structure offrent de précieuses informations sur sa fonction.

    © Institut Pasteur/Biologie structurale et chimie 14287
    Structure du domaine en doigt de zinc de la protéine NEMO