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  • Plages de lyse d'un bactériophage virulent infectant une souche de Pseudomonas aeruginosa
    Plages de lyse d'un bactériophage virulent infectant une souche de Pseudomonas aeruginosa recouvrant un support gélosé (tapis jaune).
    Institut Pasteur/Laurent Debarbieux, Groupe IBBA, Unité BMGE 47166
    Plages de lyse d'un bactériophage virulent infectant une souche de Pseudomonas aeruginosa

     

  • Exemple de plages de lyse d'un bactériophage infectant Escherichia coli
    Des dilutions sériées d'une solution d'un bactériophage ont été déposées sur une boite de Petri préalablement recouverte par la bactérie Escherichia coli. Les zones claires représentent des plages de lyse où le bactériophage a infecté et lysé la souche bactérienne.

    Institut Pasteur/Nicolas Dufour, Laurent Debarbieux 45117
    Exemple de plages de lyse d'un bactériophage infectant Escherichia coli

     

  • Staphylococcus aureus et un bacteriophage.
    Staphylococcus aureus (staphylocoque doré) en cours division et un virus bacteriophage (à droite).
    Institut Pasteur/Raphaël Laurenceau, unité Biologie structurale de la sécrétion bactérienne. Acquisition à la Plate-Forme de Microscopie Ultrastructurale. 40914
    Staphylococcus aureus et un bacteriophage.

     

  • Tore d'ADN piégé dans la capside d'un bactériophage
    Tore d'ADN piégé dans la capside d'un bactériophage.

    On peut former des tores avec l'ADN contenu à l'intérieur de la capside des bactériophages (ici le coliphage T5). Après éjection partielle de l'ADN du bactériophage, la partie de la chaîne encore encapsidée s'effondre sur elle-même sous forme torique lorsqu'elle est mise en présence de polycations, agents de condensation de l'ADN. Tore observé en vue apicale. La longueur de la molécule est de l'ordre de 15 à 20 micromètres, et le diamètre de la capside 80 nanomètres.

    Technique/matériel de microscopie : Cryo-microscopie électronique à transmission.

    © Institut Pasteur/Amélie Leforestier, Laboratoire de Physique des Solides - CNRS - Université Paris Sud en collaboration avec Gérard Pehau-Arnaudet, Plate-Forme de Microscopie Ultrastructurale 38371
    Tore d'ADN piégé dans la capside d'un bactériophage

     

  • Bactériophages d'Escherichia coli
    Bactériophages d'Escherichia coli. Les têtes icosaédriques vidées de leur matériel génétique apparaissent claires en microscopie électronique.
    © Institut Pasteur/Antoinette Ryter I04324
    Bactériophages d'Escherichia coli

     

  • Bactériophages T2 absorbés à la surface d'Escherichia coli
    Bactériophages T2, phages virulents, absorbés à la surface d'Escherichia coli. Après injection du matériel génétique du phage, deux voies sont possibles : soit l'ADN s'intègre dans le génome bactérien et est conservé à chaque nouvelle division, c'est le cycle lysogène ; soit il est répliqué, transcrit et traduit en protéines virales qui s'auto-assemblent autour de l'ADN et sont libérées sous forme de virions provoquant la lyse bactérienne, c'est le cycle lytique (Grossissement X 20000).
    Institut Pasteur/Antoinette Ryter I02791
    Bactériophages T2 absorbés à la surface d'Escherichia coli

     

  • Escherichia coli et bactériophage T2
    Attaque de la bactérie Escherichia coli par le bactériophage T2. A droite on observe une tête de phage vidée de son ADN ; en bas à gauche, un autre phage est adsorbé mais n'a pas encore injecté son ADN dans la bactérie (Grossissement X 120000). Image colorisée.
    © Institut Pasteur/Antoinette Ryter I04258
    Escherichia coli et bactériophage T2

     

  • Tores d'ADN piégés dans des capsides de bactériophages
    Tores d'ADN piégés dans des capsides de bactériophages.
    On peut former des tores avec l'ADN contenu à l'intérieur de la capside des bactériophages (ici le coliphage T5). Après éjection partielle de l'ADN du bactériophage, les chaînes d'ADN s'effondrent sur elles-mêmes sous forme torique lorsqu'elles sont mises en présence de polycations, agents de condensation de l'ADN. Ici les tores sont observés en vues obliques et transversales. On observe alors le réseau hexagonal formé par l'ADN dans le tore. Le diamètre de la capside est de 80 nanomètres.

    Technique/microscopie : Cryo-microscopie électronique à transmission

    © Institut Pasteur/Amélie Leforestier, Laboratoire de Physique des Solides - CNRS - Université Paris Sud en collaboration avec Gérard Pehau-Arnaudet, Plate-Forme de Microscopie Ultrastructurale 38370
    Tores d'ADN piégés dans des capsides de bactériophages

     

  • Phage filamenteux Ypf
    Observation en microscopie electronique du phage filamenteux Ypf (colorisé en rouge) produit par Yersinia pestis, l'agent de la peste.
    © Institut Pasteur 14051
    Phage filamenteux Ypf

     

  • Phage filamenteux Ypf
    Observation en microscopie electronique du phage filamenteux Ypf (colorisé en rouge) produit par Yersinia pestis, l'agent de la peste.
    Institut Pasteur/Anne Derbise 14049
    Phage filamenteux Ypf

     

  • Bactériophages T2 à la surface d'Escherichia coli
    Bactériophages T2, phages virulents, absorbés à la surface d'Escherichia coli. Après injection du matériel génétique du phage, deux voies sont possibles : soit l'ADN s'intègre dans le génome bactérien et est conservé à chaque nouvelle division, c'est le cycle lysogène ; soit il est répliqué, transcrit et traduit en protéines virales qui s'auto-assemblent autour de l'ADN et sont libérées sous forme de virions provoquant la lyse bactérienne, c'est le cycle lytique (Grossissement X 20000). Image colorisée.
    Institut Pasteur/Antoinette Ryter I04371
    Bactériophages T2 à la surface d'Escherichia coli

     

  • Bactériophages lambda adsorbés sur la surface de Escherichia coli
    Bactériophages lambda adsorbés sur la surface de Escherichia coli.
    Observation en microscopie électronique à transmission, contraste négatif.

    Institut Pasteur/Antoinette Ryter et Maxime Schwartz 56152
    Bactériophages lambda adsorbés sur la surface de Escherichia coli

     

  • Bactériophages d'Escherichia coli en microscopie électronique.
    Bactériophages d'Escherichia coli en microscopie électronique.
    © Institut Pasteur/Antoinette Ryter 54060
    Bactériophages d'Escherichia coli en microscopie électronique.

     

  • Bactériophages éliminant la bactérie Staphylococcus aureus sur une boite de Petri
    Bactériophages éliminant la bactérie Staphylococcus aureus sur une boite de Petri.
    Sur cette boite, on voit un tapis de bactérie (jaune), sur lequel ont été déposées des gouttes d'une solution contenant des bactériophages. Les zones sombres sont là où les phages ont tué les bactéries. Les points isolés sur la droite de la boite, sont à l'origine causé par un phage unique, qui se propage aux bactéries voisines, formant ce qu'on appelle une plaque.

    Institut Pasteur/David Bikard 50144
    Bactériophages éliminant la bactérie Staphylococcus aureus sur une boite de Petri

     

  • Bactériophages éliminant la bactérie Staphylococcus aureus sur une boite de Petri
    Bactériophages éliminant la bactérie Staphylococcus aureus sur une boite de Petri.
    Sur cette boite, on voit un tapis de bactérie (jaune), sur lequel ont été déposées des gouttes d'une solution contenant des bactériophages. Les zones sombres sont là où les phages ont tué les bactéries. Les points isolés sur la droite de la boite, sont à l'origine causé par un phage unique, qui se propage aux bactéries voisines, formant ce qu'on appelle une plaque.

    Institut Pasteur/David Bikard 50143
    Bactériophages éliminant la bactérie Staphylococcus aureus sur une boite de Petri

     

  • Phage filamenteux Ypf
    Observation en microscopie electronique du phage filamenteux Ypf (colorisé en rouge) produit par Yersinia pestis, l'agent de la peste.
    Institut Pasteur/Anne Derbise 14053
    Phage filamenteux Ypf

     

  • Phage filamenteux Ypf
    Observation en microscopie electronique du phage filamenteux Ypf (colorisé en rouge) produit par Yersinia pestis, l'agent de la peste.
    © Institut Pasteur 14052
    Phage filamenteux Ypf

     

  • Phage filamenteux Ypf
    Observation en microscopie electronique du phage filamenteux Ypf (colorisé en rouge) produit par Yersinia pestis, l'agent de la peste.
    © Institut Pasteur 14050
    Phage filamenteux Ypf

     

  • Phage filamenteux Ypf
    Observation en microscopie electronique du phage filamenteux Ypf (colorisé en rouge) produit par Yersinia pestis, l'agent de la peste.
    © Institut Pasteur 14048
    Phage filamenteux Ypf

     

  • Bactériophages T2 à la surface d'Escherichia coli
    Bactériophages T2, phages virulents, absorbés à la surface d'Escherichia coli.Après injection du matériel génétique du phage, deux voies sont possibles : soit l'ADN s'intègre dans le génome bactérien et est conservé à chaque nouvelle division, c'est le cycle lysogène ; soit il est répliqué, transcrit et traduit en protéines virales qui s'auto-assemblent autour de l'ADN et sont libérées sous forme de virions provoquant la lyse bactérienne, c'est le cycle lytique (Grossissement X 20000). Image colorisée.
    © Institut Pasteur/Antoinette Ryter I02792
    Bactériophages T2 à la surface d'Escherichia coli