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  • Etude PERILIC au Togo en février 2017.
    Centre Hopitalier régional de Dapaong au Nord du Togo - enfant inclus dans l'étude pour évaluer la durée de protection induite par le vaccin coquelucheux (PERILIC).
    © Institut Pasteur/J.Do Kokou 52673
    Etude PERILIC au Togo en février 2017.

     

  • Etude PERILIC au Togo en février 2017.
    Centre Hopitalier régional de Dapaong au Nord du Togo - le prelèvement de quelques gouttes de sang au bout du doigt permettra de savoir si l'enfant est bien protégé contre la coqueluche.
    © Institut Pasteur/J.Do Kokou 52671
    Etude PERILIC au Togo en février 2017.

     

  • Etude PERILIC au Togo en février 2017.
    Centre Hopitalier régional de Dapaong au Nord du Togo - le prelèvement de quelques gouttes de sang au bout du doigt permettra de savoir si l'enfant est bien protégé contre la coqueluche.
    © Institut Pasteur/J.Do Kokou 52669
    Etude PERILIC au Togo en février 2017.

     

  • Etude PERILIC au Togo en février 2017.
    Centre Hopitalier régional de Dapaong au Nord du Togo - enquêteurs chargés de l'organisation de l'étude PERILIC.
    © Institut Pasteur/J.Do Kokou 52667
    Etude PERILIC au Togo en février 2017.

     

  • Etude PERILIC au Togo en février 2017.
    Centre Hopitalier régional de Dapaong au Nord du Togo - enfants inclus dans l'étude pour évaluer la durée de protection induite par le vaccin coquelucheux (PERILIC).
    © Institut Pasteur/J.Do Kokou 52666
    Etude PERILIC au Togo en février 2017.

     

  • Etude PERILIC au Togo en février 2017.
    Centre Hopitalier régional de Dapaong au Nord du Togo - le prelèvement de quelques gouttes de sang au bout du doigt permettra de savoir si l'enfant est bien protégé contre la coqueluche.
    © Institut Pasteur/J.Do Kokou 52664
    Etude PERILIC au Togo en février 2017.

     

  • Etude PERILIC au Togo en février 2017.
    Centre Hopitalier régional de Dapaong au Nord du Togo - enfant inclus dans l'étude pour évaluer la durée de protection induite par le vaccin coquelucheux (PERILIC).
    © Institut Pasteur/J.Do Kokou 52663
    Etude PERILIC au Togo en février 2017.

     

  • Etude PERILIC au Togo en février 2017.
    Centre Hopitalier régional de Dapaong au Nord du Togo - Les parents et les enfants reçoivent des informations sur l'étude avant signature du consentement.
    © Institut Pasteur/J.Do Kokou 52661
    Etude PERILIC au Togo en février 2017.

     

  • Etude PERILIC au Togo en février 2017.
    Centre Hopitalier régional de Dapaong au Nord du Togo - un enquêteur chargé de l'organisation de l'étude PERILIC.
    © Institut Pasteur/J.Do Kokou 52659
    Etude PERILIC au Togo en février 2017.

     

  • Etude PERILIC au Togo en février 2017.
    Centre Hopitalier régional de Dapaong au Nord du Togo - enfant inclus dans l'étude pour évaluer la durée de protection induite par le vaccin coquelucheux (PERILIC).
    © Institut Pasteur/J.Do Kokou 52658
    Etude PERILIC au Togo en février 2017.

     

  • Etude PERILIC au Togo en février 2017.
    Centre Hopitalier régional de Dapaong au Nord du Togo - le prelèvement de quelques gouttes de sang au bout du doigt permettra de savoir si l'enfant est bien protégé contre la coqueluche.
    © Institut Pasteur/J.Do Kokou 52655
    Etude PERILIC au Togo en février 2017.

     

  • Etude PERILIC au Togo en février 2017.
    Centre Hopitalier régional de Dapaong au Nord du Togo - enquêteurs chargés de l'organisation de l'étude PERILIC.
    © Institut Pasteur/J.Do Kokou 52645
    Etude PERILIC au Togo en février 2017.

     

  • Etude PERILIC au Togo en février 2017.
    Centre Hopitalier régional de Dapaong au Nord du Togo - Après avoir réalisé le prélèvement, le médecin collecte les informations nécessaires à l'étude PERILIC.
    © Institut Pasteur/J.Do Kokou 52641
    Etude PERILIC au Togo en février 2017.

     

  • Etude PERILIC au Togo en février 2017.
    Centre Hopitalier régional de Dapaong au Nord du Togo - enquêteurs chargés de l'organisation de l'étude PERILIC.
    © Institut Pasteur/J.Do Kokou 52640
    Etude PERILIC au Togo en février 2017.

     

  • Etude PERILIC au Togo en février 2017.
    Centre Hopitalier régional de Dapaong au Nord du Togo - un enquêteur chargé de l'organisation de l'étude PERILIC.
    © Institut Pasteur/J.Do Kokou 52639
    Etude PERILIC au Togo en février 2017.

     

  • Etude PERILIC au Togo en février 2017.
    Centre Hopitalier régional de Dapaong au Nord du Togo - le prelèvement de quelques gouttes de sang au bout du doigt permettra de savoir si l'enfant est bien protégé contre la coqueluche.
    © Institut Pasteur/J.Do Kokou 52638
    Etude PERILIC au Togo en février 2017.

     

  • Etude PERILIC au Togo en février 2017.
    Centre Hopitalier régional de Dapaong au Nord du Togo - enfants inclus dans l'étude pour évaluer la durée de protection induite par le vaccin coquelucheux (PERILIC).
    © Institut Pasteur/J.Do Kokou 52637
    Etude PERILIC au Togo en février 2017.

     

  • Etude PERILIC au Togo en février 2017.
    Dapaong Nord Togo - dans une école primaire, les enquêteurs PERILIC procèdent à l'identification des familles et des enfants acceptant de participer à l'étude et vérifient les critères d'inclusion.
    © Institut Pasteur/J.Do Kokou 52635
    Etude PERILIC au Togo en février 2017.

     

  • Etude PERILIC au Togo en février 2017.
    Dapaong Nord Togo - dans une école primaire, réunion d'information des parents et des enfants sur les modalités d'une étude pour évaluer la durée de protection induite par le vaccin coquelucheux (PERILIC).
    © Institut Pasteur/J.Do Kokou 52633
    Etude PERILIC au Togo en février 2017.

     

  • Etude PERILIC au Togo en février 2017.
    Dapaong Nord Togo - dans une école primaire, réunion d'information des parents et des enfants sur les modalités d'une étude pour évaluer la durée de protection induite par le vaccin coquelucheux (PERILIC).
    © Institut Pasteur/J.Do Kokou 52631
    Etude PERILIC au Togo en février 2017.