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Hybridation génomique comparative de carcinomes hépatocellulaires (CHC) sur plaques métaphasiques.
Cette technique permet d'identifier les pertes (en vert) et gains (en rouge) de régions chromosomiques à partir de l'ADN issu des tumeurs, les centromères apparaissent en bleu.
© Institut Pasteur/Agnès Marchio 56041
Hybridation génomique comparative de carcinomes hépatocellulaires sur plaques métaphasiques -
Hybridation Génomique Comparative de carcinomes hépatocellulaires (CHC) sur plaques métaphasiques.
Cette technique permet d'identifier les pertes (en vert) et gains (en rouge) de régions chromosomiques à partir de l'ADN issu des tumeurs, les centromères apparaissent en bleu
Institut Pasteur/Agnès Marchio 56040
Hybridation génomique comparative de carcinomes hépatocellulaires sur plaques métaphasiques -
Au cours du développement lymphocytaire, le processus de recombinaison V(D)J peut, en cas de défaut de réparation de l’ADN, induire une instabilité génomique et le développement de lymphomes/leucémies.
Afin d’identifier les translocations spécifiques de tumeurs obtenues dans différents modèles murins, le caryotype des cellules tumorales est établi en marquant les chromosomes par multi FISH (Fluorescent In Situ Hybridization). Une fausse couleur est attribuée à chaque paire de chromosomes marquée avec une combinaison de sondes spécifiques, permettant ainsi leur identification. Cette tumeur présente ici des translocations impliquant les chromosomes 12 (porteur du locus Igh codant pour la chaine lourde des anticorps), 15 (porteur de l’oncogène c-myc) et 6 (porteur du locus Igk codant pour la chaine légère des anticorps).
Image prise avec un microscope à fluorescence ZEISS AxioImager Z2 (Objectif X63) et analysée avec le logiciel Isis (Metafer).
© Institut Pasteur/Chloé Lescale (Laboratoire de Ludovic Deriano) 50935
Chromosomes métaphasiques et caryotype d’une cellule lymphoïde cancéreuse. -
Chromosomes métaphasiques marqués par multi-FISH (Fluorescent In Situ Hybridization). Une fausse couleur est attribuée à chaque paire de chromosomes marquée avec une combinaison de sondes spécifiques, permettant ainsi leur identification.
Image prise avec un microscope à fluorescence ZEISS AxioImager Z2 (Objectif X63) et analysée avec le logiciel Isis (Metafer).
© Institut Pasteur/Hélène Lenden Hasse (Laboratoire de Ludovic Deriano) 50173
Chromosomes métaphasiques et noyaux interphasiques de cellules pre-B -
Afin de quantifier l’instabilité génomique due au processus de recombinaison V(D)J dans différentes lignées cellulaires pre-B de souris, les chromosomes métaphasiques sont marqués par FISH (Fluorescent In Situ Hybridization) avec des sondes spécifiques du locus Igk codant pour la chaîne légère des Immunoglobulines (Igk-C en rouge, Igk-V en vert), et un paint du chromosome 6 (en blanc). L’ADN est marqué avec du DAPI (en bleu).
Image prise avec un microscope à fluorescence ZEISS AxioImager Z2 (Objectif X63) et analysée avec le logiciel Isis (Metafer).
© Institut Pasteur/Chloé Lescale (Laboratoire de Ludovic Deriano) 50171
Chromosomes métaphasiques d’une cellule pre-B avec une translocation impliquant le locus Igk. -
Chromosomes métaphasiques marqués par multi-FISH (Fluorescent In Situ Hybridization). Visualisation des chromosomes marqués avec du DAPI et différentes combinaisons de sondes spécifique à chaque paire de chromosomes.
Image prise avec un microscope à fluorescence ZEISS AxioImager Z2 (Objectif X63) et analysée avec le logiciel Isis (Metafer).
© Institut Pasteur/Hélène Lenden Hasse (Laboratoire de Ludovic Deriano) 50170
Chromosomes métaphasiques et noyaux interphasiques de cellules pre-B -
Afin de quantifier l’instabilité génomique due au processus de recombinaison V(D)J dans les progéniteurs lymphoïdes de différents modèles murins, les chromosomes métaphasiques sont marqués par FISH (Fluorescent In Situ Hybridization) avec des sondes spécifiques du locus Igh codant pour la chaîne lourde des Immunoglobulines (Igh-C en rouge, Igh-V en vert), et un marquage spécifique du chromosome 12 (en bleu). L’ADN est marqué avec du DAPI (en blanc).
Image prise avec un microscope à fluorescence ZEISS AxioImager Z2
(Objectif X63) et analysée avec le logiciel Isis (Metafer).
© Institut Pasteur/Chloé Lescale (Laboratoire de Ludovic Deriano) 50165
Chromosomes métaphasiques d’une cellule pro-B avec une translocation impliquant le locus Igh -
Des modèles de souris présentant une déficience héréditaire de la voie de réparation NHEJ (Non Homologous End Joining) et déficientes pour le gène suppresseur de tumeurs p53 développent des tumeurs pro-B caractéristiques, présentant des translocations et amplifications impliquant le locus Igh (codant pour la chaîne lourde des Immunoglobulines) et l’oncogène c-myc.
Ces amplicons sont détectés ici par FISH (Fluorescent In Situ Hybridization) en utilisant des sondes spécifiques des loci Igh (en rouge) et c-myc (en vert). L’ADN est marqué avec du DAPI (en bleu).
Image prise avec un microscope à fluorescence ZEISS AxioImager Z2 (Objectif X63) et analysée avec le logiciel Isis (Metafer).
© Institut Pasteur/Chloé Lescale (Laboratoire de Ludovic Deriano) 50162
Chromosomes métaphasiques d’une cellule lymphoïde cancéreuse présentant une amplification des gènes Igh et c-myc -
Au cours du développement lymphocytaire, le processus de recombinaison V(D)J peut, en cas de défaut de réparation de l’ADN, induire une instabilité génomique et le développement de lymphomes/leucémies. Afin d’identifier les translocations spécifiques de tumeurs obtenues dans différents modèles murins, le caryotype des cellules tumorales est établi en marquant les chromosomes par multi FISH (Fluorescent In Situ Hybridization). Une fausse couleur est attribuée à chaque paire de chromosomes marquée avec une
combinaison de sondes spécifiques, permettant ainsi leur identification.
Cette tumeur présente ici des translocations impliquant les chromosomes 12 (porteur du locus Igh codant pour la chaine lourde des anticorps), 15 (porteur de l’oncogène c-myc) et 6 (porteur du locus Igk codant pour la chaine légère des anticorps).
Image prise avec un microscope à fluorescence ZEISS AxioImager Z2 (Objectif X63) et analysée avec le logiciel Isis (Metafer).
Institut Pasteur/Chloé Lescale (Laboratoire de Ludovic Deriano) 50160
Chromosomes métaphasiques d’une cellule lymphoïde cancéreuse -
Chromosomes métaphasiques marqués par multi-FISH (Fluorescent In Situ Hybridization). Visualisation des chromosomes marqués avec du DAPI et différentes combinaisons de sondes spécifique à chaque paire de chromosomes.
Image prise avec un microscope à fluorescence ZEISS AxioImager Z2 (Objectif X63) et analysée avec le logiciel Isis (Metafer).
© Institut Pasteur/Hélène Lenden Hasse (Laboratoire de Ludovic Deriano) 50153
Chromosomes métaphasiques et noyaux interphasiques de cellules pre-B -
Afin de quantifier l’instabilité génomique due au processus de recombinaison V(D)J dans différentes lignées cellulaires pre-B de souris, les chromosomes métaphasiques sont marqués par FISH (Fluorescent In Situ Hybridization) avec des sondes spécifiques du locus Igk codant pour la chaîne légère des Immunoglobulines (Igk-V en vert), et un paint du chromosome 6 (en rouge). L’ADN est marqué avec du DAPI (en bleu).
Image prise avec un microscope à fluorescence ZEISS AxioImager Z2 (Objectif X63) et analysée avec le logiciel Isis (Metafer).
© Institut Pasteur/Chloé Lescale (Laboratoire de Ludovic Deriano) 50152
ADN interphasique et métaphasique de cellules pre-B. -
Colonie de la bactérie pathogène du choléra, Vibrio cholerae, possédant des secteurs bleus, indiquant la fusion artificielle réussite des deux chromosomes pour donner une souche à chromosome unique.
© Institut Pasteur/Thibault Rouxel et Marie-Eve Val, Plasticité du Génome bactérien 37439
Colonie de Vibrio cholerae avec fusion artificielle des deux chromosomes -
Immunolocalisation (en vert) de la protéine HP1 (Heterochromatin Protein 1) sur des chromosomes polytènes fixés, obtenus à partir de glandes salivaires de drosophile.
Delphine Fagegaltier et Emmanuelle Perret, Génétique et Epigénénétique de la Drosophile en collaboration avec la Plate-forme d'Imagerie Dynamique - Imagopole 13308
Immunolocalisation de la protéine HP1 -
Immunolocalisation (en vert) de la protéine HP1 (Heterochromatin Protein 1) sur des chromosomes polytènes fixés, obtenus à partir de glandes salivaires de drosophile.
Delphine Fagegaltier et Emmanuelle Perret, Génétique et Epigénénétique de la Drosophile en collaboration avec la Plate-forme d'Imagerie Dynamique - Imagopole 13307
Immunolocalisation de la protéine HP1 -
Immunolocalisation (en vert) de la protéine HP1 (Heterochromatin Protein 1) sur des chromosomes polytènes fixés, obtenus à partir de glandes salivaires de drosophile.
Delphine Fagegaltier et Emmanuelle Perret, Génétique et Epigénénétique de la Drosophile en collaboration avec la Plate-forme d'Imagerie Dynamique PFID Imagopole 13306
Immunolocalisation de la protéine HP1 -
Mosaique de chromosomes polytènes de glandes salivaires de drosophile. Le marquage rouge révèle la protéine TAF1.
© Institut Pasteur/Dimitri Szymczak avec la plate-forme d'imagerie dynamique 12724
Etalement de chromosomes polytènes de glandes salivaires de drosophile -
Etalement de chromosomes polytènes de glandes salivaires de drosophile. La croissance des tissus larvaires de la drosophile s'accompagne d'endoréplication, conduisant à la formation de chromosomes polytènes d'une taille importante dans les glandes salivaires.
© Institut Pasteur 12723
Chromosomes polytènes de drosophile -
Etalement de chromosomes polytènes de glandes salivaires de drosophile. La croissance des tissus larvaires de la drosophile s'accompagne d'endoréplication, conduisant à la formation de chromosomes polytènes d'une taille importante dans les glandes salivaires.
© Institut Pasteur 12722
Chromosomes polytènes de drosophile -
Etalement de chromosomes polytènes de glandes salivaires de drosophile. La croissance des tissus larvaires de la drosophile s'accompagne d'endoréplication, conduisant à la formation de chromosomes polytènes d'une taille importante dans les glandes salivaires.
© Institut Pasteur 12720
Chromosomes polytènes de drosophile -
Etalement de chromosomes polytènes de glandes salivaires de drosophile. La croissance des tissus larvaires de la drosophile s'accompagne d'endoréplication, conduisant à la formation de chromosomes polytènes d'une taille importante dans les glandes salivaires.
© Institut Pasteur 12719
Chromosomes polytènes de drosophile