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Virus de l'hépatite B (VHB) en microscopie électronique en transmission. Image colorisée.
Les sphères rouges sont des "particules de Dane" et correspondent au virus complet infectieux. Les tubules et sphérules verts sont des particules non infectieuses composées uniquement des proteines de l'enveloppe du virus.
L'hépatite B chronique peut être à l'origine de cancer du foie et de cirrhose.
Institut Pasteur/J. Pillot et Charles Dauguet - Colorisation Jean-Marc Panaud. 40091
Virus de l'hépatite B (VHB) -
Coupe histologique de foie de patient atteint d'une hépatite C chronique active avec infiltrat (opacité) folliculaire (lymphocytes) (Grossissement X 400).
L'hépatite C chronique peut être à l'origine de cirrhose et cancer du foie
© Institut Pasteur 34616
Coupe histologique de foie de patient atteint d'hépatite C -
Papillomavirus. Ils causent la prolifération d'épithélium conduisant à des néoplasies en général bénignes (verrues), et parfois malignes (cancer du col de l'utérus). Image colorisée.
© Institut Pasteur/Odile Croissant 34614
Papillomavirus -
Particules de papillomavirus humain dans une cellule superficielle d'une lésion génitale (x130 000).
Institut Pasteur/Odile Croissant 34613
Particules de papillomavirus humain -
Particules HBs, à la base du vaccin préventif contre l'hépatite B.
© Institut Pasteur 32499
Particules HBs, à la base du vaccin préventif contre l'hépatite B. -
Particules HBs, à la base du vaccin préventif contre l'hépatite B.
© Institut Pasteur 32498
Particules HBs, à la base du vaccin préventif contre l'hépatite B. -
Lymphocyte T CD4 infecté par le virus HLTV. On observe le virus bourgeonnant à la surface cellulaire.
© Institut Pasteur/Nathalie Sol-Foulon et Olivier Schwartz, Virus et Immunité ; Stéphanie Guadagnini et Marie-Christine Prévost, Plate-forme de Microscopie electronique 30931
Lymphocyte T CD4 et virus HLTV -
Lymphocyte T CD4 infecté par le virus HLTV. On observe le virus bourgeonnant à la surface cellulaire.
© Institut Pasteur/Nathalie Sol-Foulon et Olivier Schwartz, Virus et Immunité ; Stéphanie Guadagnini et Marie-Christine Prévost, Plate-forme de Microscopie electronique 30930
Lymphocyte T CD4 et virus HLTV -
Particules de papillomavirus type HPV-1
© Institut Pasteur/Gérard Pehau-Arnaudet et Gérard Orth 28626
Particules virales de papillomavirus type HPV-1 -
Particules virales de Papillomavirus type HPV-1
Institut Pasteur/Gérard Pehau-Arnaudet et Gérard Orth 28625
Particules virales de papillomavirus type HPV-1 -
Particule virale de Papillomavirus type HPV-1
© Institut Pasteur/Gérard Pehau-Arnaudet et Gérard Orth 28624
Particule virale de Papillomavirus type HPV-1 -
Particules de papillomavirus type HPV-1.
© Institut Pasteur/Gérard Pehau-Arnaudet et Gérard Orth 28623
Particules de papillomavirus type HPV-1 -
Le sarcome de Kaposi est lié à l'infection par l'herpèsvirus humain 8 (HHV8).
Détection par immunohistochimie dans des lésions du sarcome de Kaposi. Grossissement X 200.
© Institut Pasteur/Michel Huerre 28580
Détection par immunohistochimie du HHV8 dans des lésions du sarcome de Kaposi. -
L'infection par les papillomavirus oncogènes augmente le risque d'avoir une lésion précancéreuse. Seule l'infection persistante pendant plusieurs années avec des papillomavirus oncogènes peut entraîner le développement de lésions précancéreuses et un cancer du col de l'utérus.
© Institut Pasteur/Valérie Zeitoun 28341
Infection par des papillomavirus oncogènes du col de l'utérus -
Le plus souvent, l'infection génitale par les papillomavirus ne donne ni symptôme ni lésion. Le virus est éliminé naturellement en un à deux ans grâce au système immunitaire.
La persistance de l'infection par certains papillomavirus dits oncogènes au niveau du col de l'utérus peut entraîner des anomalies cellulaires modérées ou sévères, des lésions précancéreuses, et très rarement un cancer du col de l'utérus.
Institut Pasteur/Valérie Zeitoun 28340
Histoire naturelle de l'infection HPV et du cancer du col -
Particules de papillomavirus humain dans une cellule superficielle d'une lésion génitale.
Microscopie Electronique à Transmission (MET).
© Institut Pasteur 28339
Particules de papillomavirus humain -
Virus de l'hépatite B (VHB) en microscopie électronique en transmission. Image colorisée.
Les grosses sphères roses sont des "particules de Dane" et correspondent au virus complet infectieux. Les tubules jaunes et sphérules roses sont des particules non infectieuses composées uniquement des proteines de l'enveloppe du virus.
L'hépatite B chronique peut être à l'origine de cancer du foie et de cirrhose.
Institut Pasteur/J. Pillot et Charles Dauguet - Colorisation Jean-Marc Panaud. 28274
Virus de l'hépatite B (VHB) -
Mise en évidence de structures de type " biofilm ", formées par le rétrovirus HTLV-1 à la surface d'un lymphocyte. Il s'agit d'agrégats de virus et de matrice extracellulaire riche en sucres, sécrétée par la cellule, et dont la synthèse est commandée par le génome du virus, intégré dans le génome cellulaire.
Micrographie en microscopie électronique à balayage. Les points blancs correspond au marquage avec un anticorps dirigé contre la protéine d'enveloppe du virus marqué à l'or colloïdal.
© Institut Pasteur/Ana-Monica Pais-Correia, Maria-Isabel Thoulouze et Andrés Alcover, Unité de Biologie Cellulaire des Lymphocytes et Stéphanie Guadagnini, PFMU-Imagopole, collab. avec Antoine Gessain de l'Unité d'Epidémiologie et Physiopathologie des Virus Oncogènes 24889
Mise en évidence de structures de type " biofilm ", formées par le rétrovirus HTLV-1 à la surface d'un lymphocyte -
Mise en évidence de structures de type " biofilm ", formées par le rétrovirus HTLV-1 à la surface d'un lymphocyte. Il s'agit d'agrégats de virus et de matrice extracellulaire riche en sucres, sécrétée par la cellule, et dont la synthèse est commandée par le génome du virus, intégré dans le génome cellulaire.
La surface cellulaire est marqué par la Concanavaline A. Les protéines virales sont marquées à l'aide d'un antisérum de patient infecté par HTLV-1 (rouge) et avec un anticorps reconnaissant la protéine Gag du virus (bleu).
© Institut Pasteur/Ana-Monica Pais-Correia, Maria-Isabel Thoulouze et Andrés Alcover, Unité Biologie Cellulaire des Lymphocytes, collab. Antoine Gessain Unité Epidémiologie et Physiopathologie des Virus Oncogènes et la Plateforme d'Imagerie Dynamique-Imagopole 24888
Structures de type " biofilm " formées par le rétrovirus HTLV-1 à la surface d'un lymphocyte -
Mise en évidence de structures de type "biofilm ", formées par le rétrovirus HTLV-1 à la surface d'un lymphocyte. Il s'agit d'agrégats de virus et de matrice extracellulaire riche en sucres, sécrétée par la cellule, et dont la synthèse est commandée par le génome du virus, intégré dans le génome cellulaire.
Micrographie en microscopie électronique à balayage. Image colorisée.
© Institut Pasteur/A-M. Pais-Correia, M-I. Thoulouze et A. Alcover, unité de Biologie Cellulaire des Lymphocytes - S. Guadagnini, Plate-forme de microscopie ultrastructurale - A. Gessain, unité d'Epidémiologie et Physiopathologie des Virus Oncogènes. 24756
Biofilm formé par HTLV-1 (en jaune) à la surface d'une cellule