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  • Neurone et ses connexions synaptiques.
    L'analyse des gènes et de la fonction des cellules neuronales contribuent à la recherche des facteurs de susceptibilité génétique à l'autisme.
    Institut Pasteur/Thomas Bourgeron 13808
    Neurone et ses connexions synaptiques.

     

  • Chercheur de l'Unité de Génétique humaine et fonctions cognitives.
    Chercheur de l'Unité de Génétique humaine et fonctions cognitives.
    Recherches en génétique de l'autisme.

    © Institut Pasteur - photo Valérie Zeitoun 30993
    Chercheur de l'Unité de Génétique humaine et fonctions cognitives.

     

  • Chercheur de l'Unité de Génétique humaine et fonctions cognitives.
    Chercheur de l'Unité de Génétique humaine et fonctions cognitives.
    Recherches en génétique de l'autisme.

    Institut Pasteur - photo Valérie Zeitoun 30995
    Chercheur de l'Unité de Génétique humaine et fonctions cognitives.

     

  • Microscopie d'un neurone. Le marquage jaune montre les synapses.
    Microscopie d'un neurone. En jaune : les points de contacts établis avec d'autres neurones ou « synapses ».
    Etude de l'influence des gènes synaptiques dans les troubles du spectre autistique.
    À l'Institut Pasteur, l'Unité de recherche Génétique humaine et fonctions cognitives, dirigée par Thomas Bourgeron, a été la première à confirmer la piste génétique de l'autisme : en 2003, elle a identifié des mutations localisées dans les gènes NLGN3 et NLGN4X.

    Institut Pasteur/Christelle Durand 32050
    Microscopie d'un neurone. Le marquage jaune montre les synapses.

     

  • Architecture génomique des patients portant une délétion altérant le gène SHANK2.
    Architecture génomique en terme de variation du nombre de copie (délétion et duplication) des patients portant une délétion altérant le gène SHANK2.
    Le gène SHANK2 code une protéine localisée au niveau des synapses, les points de contact et de communication entre les neurones.

    © Institut Pasteur 32500
    Architecture génomique des patients portant une délétion altérant le gène SHANK2.

     

  • Ensemble des mutations identifiées et localisées sur la protéine SHANK2
    Ensemble des mutations identifiées et localisées sur la protéine SHANK2. Les mutations en rouge sont spécifiques des patients, en vert sont spécifiques des controles et en orange ont été détectées chez les autistes et les controles.
    SHANK2 est impliquée dans l'autisme et joue un rôle dans la transmission de l'information neuronale.

    © Institut Pasteur 32501
    Ensemble des mutations identifiées et localisées sur la protéine SHANK2

     

  • Recherches génétiques sur l'autisme dans l'unité de Génétique humaine et fonctions cognitives
    Recherches génétiques sur l'autisme dans l'unité de Génétique humaine et fonctions cognitives dirigée par Thomas Bourgeron.
    Institut Pasteur - photo François Gardy 38311
    Recherches génétiques sur l'autisme dans l'unité de Génétique humaine et fonctions cognitives

     

  • Autisme : des chromosomes au cerveau
    L'autisme est caractérisé par des atteintes de la communication sociale et la présence de stéréotypies. Une personne sur cent est atteinte d'autisme et il n'y a pas de thérapie efficace. L'Institut Pasteur a identifié les premiers gènes associés à l'autisme et analyse l'impact des mutations sur les points de contacts entre les neurones (les synapses) et sur l'anatomie et le fonctionnement du cerveau. Cette meilleure connaissance de l'autisme devrait améliorer le diagnostic, les soins et l'intégration des personnes autistes.
    © Institut Pasteur 50137
    Autisme : des chromosomes au cerveau

     

  • Cartographie des gènes de vulnérabilité à l'autisme sur l'ensemble du génome.
    Cartographie des gènes de vulnérabilité à l'autisme sur l'ensemble du génome. Les gènes de vulnérabilité sont nombreux (> 300) mais ils convergent vers des fonctions biologiques communes comme par exemple l'établissement des points de contacts entre les neurones (les synapses). Au centre du cercle sont indiquées les génes de vulnérabilité à l'autisme participant à la plasticité synaptique.
    © Institut Pasteur/Génétique Humaine et Fonctions Cognitives 53326
    Cartographie des gènes de vulnérabilité à l'autisme sur l'ensemble du génome.

     

  • Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023
    Membres de l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives, dirigée par Thomas Bourgeron, en mars 2023.
    De gauche à droite: Benoit Forget (post-doctorant), Anaël Ayrolles (médecin psychiatre), Anne-Claude Tabet (chercheuse), Freddy Cliquet (ingénieur de recherche), Alexandre Mathieu (ingénieur de recherche), Chloé Lehoucq (cheffe de projet), Thomas Rolland (chercheur), Eli Barthome (doctorant.e), Claire Leblond (chercheuse), Thomas Bourgeron (responsable), Nathalie Lemière (technicienne), Sebastien Velut (ingénieur de recherche), Anna Maruani (médecin psychiatre), Sabrina Coqueran (technicienne), Benjamin Devauchelle (assistant administratif), Elisabeth Verpy (chercheuse), Sophie Dauzet (cheffe de projet), Aline Vitrac (post-doctorante).

    Institut Pasteur - photo François Gardy 64464
    Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023

     

  • Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023
    Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023. L’analyse du génome de n’importe quel individu révèle de très nombreuses variations par rapport à une séquence de référence. Les généticiens du laboratoire sélectionnent celles identifiées chez les personnes autistes et dont la nature suggère qu’elles peuvent être impliquées dans les TSA (troubles du spectre de l’autisme). La présence de ces variations/mutations est confirmée en amplifiant par PCR (Polymerase Chain Reaction) un petit fragment d’ADN qui contient le site de la mutation potentielle. Pour vérifier que l’amplification a bien eu lieu, la réaction de PCR est déposée sur un gel d’agarose et est soumise à une migration dans un champ électrique. Le fragment amplifié sera visible sous forme d’une bande sous des rayons UV. Le fragment amplifié sera alors séquencé.
    Institut Pasteur - photo François Gardy 64470
    Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023

     

  • Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023
    Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023.
    L’analyse du génome de n’importe quel individu révèle de très nombreuses variations par rapport à une séquence de référence. Les généticiens du laboratoire sélectionnent celles identifiées chez les personnes autistes et dont la nature suggère qu’elles peuvent être impliquées dans les TSA (troubles du spectre de l’autisme). La présence de ces variations/mutations est confirmée en amplifiant par PCR (Polymerase Chain Reaction) un petit fragment d’ADN qui contient le site de la mutation potentielle. Pour vérifier que l’amplification a bien eu lieu, la réaction de PCR est déposée sur un gel d’agarose et est soumise à une migration dans un champ électrique. Le fragment amplifié sera visible sous forme d’une bande sous des rayons UV. Le fragment amplifié sera alors séquencé.

    Institut Pasteur - photo François Gardy 64468
    Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023

     

  • Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023
    Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023.
    Afin d’étudier le rôle des gènes impliqués dans les TSA dans le développement et le fonctionnement du cerveau et pouvoir tester d’éventuels traitement, certains de ces gènes ont été inactivés chez la souris. Après avoir étudié le comportement (interactions sociales, vocalisations, comportements répétitifs, capacités d’apprentissage, …) des souris déficientes pour ces gènes et leur activité cérébrale, le cerveau des animaux est récupéré pour réaliser des analyses structurales, cellulaires et moléculaires de différentes régions du cerveau. Certains cerveaux sont congelés dans des blocs à très basse température et conservés à -80°C.

    Institut Pasteur - photo François Gardy 64472
    Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023

     

  • Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023
    Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023.
    Réalisation de coupes fines de cerveaux de souris à -20°C dans un cryostat.
    Afin d’étudier le rôle des gènes impliqués dans les TSA dans le développement et le fonctionnement du cerveau et pouvoir tester d’éventuels traitement, certains de ces gènes ont été inactivés chez la souris. Après avoir étudié le comportement (interactions sociales, vocalisations, comportements répétitifs, capacités d’apprentissage, …) des souris déficientes pour ces gènes et leur activité cérébrale, le cerveau des animaux est récupéré pour réaliser des analyses structurales, cellulaires et moléculaires de différentes régions du cerveau. Certains cerveaux sont congelés dans des blocs à très basse température et conservés à -80°C. Ils sont ensuite tranchés en coupes fines à -20°C dans un cryostat afin d’étudier l’architecture des différentes aires cérébrales et localiser certaines molécules à l’aide de marqueurs fluorescents. Les coupes marquées seront étudiées à l’aide d’un microscope à fluorescence.

    Institut Pasteur - photo François Gardy 64481
    Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023

     

  • Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023
    Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023.
    Réalisation de coupes fines de cerveaux de souris à -20°C dans un cryostat.
    Afin d’étudier le rôle des gènes impliqués dans les TSA dans le développement et le fonctionnement du cerveau et pouvoir tester d’éventuels traitement, certains de ces gènes ont été inactivés chez la souris. Après avoir étudié le comportement (interactions sociales, vocalisations, comportements répétitifs, capacités d’apprentissage, …) des souris déficientes pour ces gènes et leur activité cérébrale, le cerveau des animaux est récupéré pour réaliser des analyses structurales, cellulaires et moléculaires de différentes régions du cerveau. Certains cerveaux sont congelés dans des blocs à très basse température et conservés à -80°C. Ils sont ensuite tranchés en coupes fines à -20°C dans un cryostat afin d’étudier l’architecture des différentes aires cérébrales et localiser certaines molécules à l’aide de marqueurs fluorescents. Les coupes marquées seront étudiées à l’aide d’un microscope à fluorescence.

    Institut Pasteur - photo François Gardy 64480
    Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023

     

  • Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023
    Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023.
    Afin d’étudier le rôle des gènes impliqués dans les TSA dans le développement et le fonctionnement du cerveau et pouvoir tester d’éventuels traitement, certains de ces gènes ont été inactivés chez la souris. Après avoir étudié le comportement (interactions sociales, vocalisations, comportements répétitifs, capacités d’apprentissage, …) des souris déficientes pour ces gènes et leur activité cérébrale, le cerveau des animaux est récupéré pour réaliser des analyses structurales, cellulaires et moléculaires de différentes régions du cerveau. Certains cerveaux sont congelés dans des blocs à très basse température et conservés à -80°C (à gauche sur la photo). Ils sont ensuite tranchés en coupes fines à -20°C dans un cryostat (manipulation à droite) afin d’étudier l’architecture des différentes aires cérébrales et localiser certaines molécules à l’aide de marqueurs fluorescents.

    Institut Pasteur - photo François Gardy 64475
    Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023

     

  • Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023
    Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023.
    Réalisation de coupes fines de cerveaux de souris à -20°C dans un cryostat.
    Afin d’étudier le rôle des gènes impliqués dans les TSA dans le développement et le fonctionnement du cerveau et pouvoir tester d’éventuels traitement, certains de ces gènes ont été inactivés chez la souris. Après avoir étudié le comportement (interactions sociales, vocalisations, comportements répétitifs, capacités d’apprentissage, …) des souris déficientes pour ces gènes et leur activité cérébrale, le cerveau des animaux est récupéré pour réaliser des analyses structurales, cellulaires et moléculaires de différentes régions du cerveau. Certains cerveaux sont congelés dans des blocs à très basse température et sont conservés à -80°C. Ils sont ensuite tranchés en coupes fines à -20°C dans un cryostat afin d’étudier l’architecture des différentes aires cérébrales et localiser certaines molécules à l’aide de marqueurs fluorescents. Les coupes marquées seront étudiées à l’aide d’un microscope à fluorescence.

    Institut Pasteur - photo François Gardy 64476
    Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023

     

  • Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023
    Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023. Réunion de travail entre un.e doctorant.e, Thomas Bourgeron et un médecin psychiatre (AP-HP).
    Institut Pasteur - photo François Gardy 64488
    Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023

     

  • Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023
    Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023. Réunion de travail entre un.e doctorant.e, Thomas Bourgeron et un médecin psychiatre (AP-HP).
    Institut Pasteur - photo François Gardy 64544
    Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023

     

  • Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023
    Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives dirigée par Thomas Bourgeron à l'Institut Pasteur en mars 2023.
    Réunion de travail, Thomas Bourgeron et le Dr Anaël Ayrolles, psychiatre à l'hôpital Robert Debré.

    Institut Pasteur - photo François Gardy 64485
    Reportage dans l’unité Génétique humaine et fonctions cognitives en mars 2023