Amibiase
14 résultat(s) en 0.03 s
-
Visualisation de l'interaction entre l'amibe entéropathogène Entamoeba histolytica et la couche de mucus protégeant l'épithélium de surface du côlon à l'aide d'un modèle ex-vivo de côlon humain mimant les étapes précoces de l'amibiase.
Cette photo illustre la première étape d'interaction de trophozoïtes de E. histolytica avec la barrière intestinale humaine pouvant conduire à une amibiase intestinale.
Les trophozoïtes sont des cellules mobiles, on peut observer sur cette image les pseudopodes émis lors de leurs déplacements.
© Institut Pasteur/Marie-Christine Prévost, Plate Forme Microscopie Ultrastructurale - Elisabeth Labruyère, unité de Biologie Cellulaire du Parasitisme 24581
Adhérence d'Entamoeba histolytica sur le mucus recouvrant l'épithélium d'un explant de côlon humain -
Visualisation de l'interaction entre l'amibe entéropathogène Entamoeba histolytica et la couche de mucus protégeant l'épithélium de surface du côlon à l'aide d'un modèle ex-vivo de côlon humain mimant les étapes précoces de l'amibiase.
Cette photo illustre la première étape d'interaction de trophozoïtes de E. histolytica avec la barrière intestinale humaine pouvant conduire à une amibiase intestinale.
Les trophozoïtes sont des cellules mobiles : on peut observer sur cette image les pseudopodes émis lors de leurs déplacements.
© Institut Pasteur/Marie-Christine Prévost, Plate Forme Microscopie Ultrastructurale - Elisabeth Labruyère, unité de Biologie Cellulaire du Parasitisme 24580
Adhérence d'Entamoeba histolytica sur le mucus recouvrant l'épithélium d'un explant de côlon humain -
Visualisation de l'interaction entre l'amibe entéropathogène Entamoeba histolytica et la couche de mucus protégeant l'épithélium de surface du côlon à l'aide d'un modèle ex-vivo de côlon humain mimant les étapes précoces de l'amibiase.
Cette photo illustre la première étape d'interaction de trophozoïtes de E. histolytica avec la barrière intestinale humaine pouvant conduire à une amibiase intestinale.
Les trophozoïtes sont des cellules mobiles : on peut observer sur cette image les pseudopodes émis lors de leurs déplacements.
© Institut Pasteur/Marie-Christine Prévost, Plate Forme Microscopie Ultrastructurale - Elisabeth Labruyère, unité de Biologie Cellulaire du Parasitisme 24579
Adhérence d'Entamoeba histolytica sur le mucus recouvrant l'épithélium d'un explant de côlon humain -
Coupe longitudinale de la muqueuse colique montrant la dégradation de l'épithélium de surface d'explants de côlon humain après deux heures d'incubation avec des trophozoïtes d'Entamoeba histolytica.
Les trophozoïtes adhèrent à l'épithélium et détachent les entérocytes dans les régions interglandulaires. On voit ici un trophozoïte (en rouge) entre deux cryptes ou glandes de Lieberkühn.
© Institut Pasteur/Patrick Ave, Recherche et Expertise Histotechnologie et Pathologie ; Elisabeth Labruyère, Biologie Cellulaire du Parasitisme 24578
Dégradation de l'épithélium de surface d'un côlon humain par Entamoeba histolytica -
Après quatres heures d'incubation de fragments de côlon humain avec des trophozoïtes d'Entamoeba histolytica, l'épithélium de surface du côlon est détruit et les cellules sont détachées.
Les trophozoïtes (en rouge) sont capables de lyser ces cellules et éventuellement de les phagocyter : on observe des noyaux de cellules humaines phagocytées (en bleu) à l'intérieur d'un trophozoïte.
© Institut Pasteur/Elisabeth Labruyère 24577
Trophozoïtes d'Entamoeba histolytica phagocytant des cellules de la muqueuse colique humaine -
Visualisation de l'interaction de trophozoïtes de l'amibe entéropathogène Entamoeba histolytica avec la barrière intestinale humaine à l'aide d'un modèle ex-vivo d'explants de côlon humain mimant les étapes précoces de l'amibiase.
Après deux heures d'incubation d'Entamoeba histolytica avec un fragment de côlon humain, la couche de mucus du côlon est dégradée faisant apparaitre l'architecture régulière de l'épithélium.
On peut voir des "jets" de mucus sortant des cryptes ou glandes de Lieberkühn. Des aggrégats d'E. histolytica et de cellules humaines se forment dans les régions interglandulaires.
© Institut Pasteur/Marie-Christine Prévost, Plate Forme Microscopie Ultrastructurale - Elisabeth Labruyère, unité de Biologie Cellulaire du Parasitisme 24576
Adhérence d'Entamoeba histolytica sur l'épithélium d'un explant de côlon humain -
Visualisation de l'intéraction de trophozoïtes de l'amibe entéropathogène Entamoeba histolytica avec la barrière intestinale humaine à l'aide d'un modèle ex-vivo d'explants de côlon humain mimant les étapes précoces de l'amibiase.
Après deux heures d'incubation d'Entamoeba histolytica avec un fragment de côlon humain, la couche de mucus du côlon a été dégradée et on peut apercevoir l'architecture régulière de l'épithélium.
Les "trous" correspondent aux cryptes (glandes) de Lieberkûhn. Des aggrégats d'E. histolytica et de cellules humaines se forment dans les régions interglandulaires.
© Institut Pasteur/Marie-Christine Prévost, Plate Forme Microscopie Ultrastructurale - Elisabeth Labruyère, unité de Biologie Cellulaire du Parasitisme 24575
Adhérence d'Entamoeba histolytica sur l'épithélium d'un explant de côlon humain -
Amibiase digestive à Entamoeba histolytica. Biopsie colique humaine : nombreux protozoaire de 20 microns environ; Hex 400.
© Institut Pasteur 12632
Amibiase digestive -
Coupe histologique d'intestin infecté par Entamoeba histolytica. Stade trophozoïte mononucléé transmis par ingestion d'eau ou d'aliments crus souillés par des matières fécales. 90% des infections sont asymptomatiques, le reste peut causer des hémorragies gastrointestinales résultant en dysenteries, des péritonites aigües ou des abcès hépatiques.
© Institut Pasteur I00252
Coupe histologique d'intestin infecté par Entamoeba histolytica -
Amibiase intestinale : coupe de colon avec présence d'Entamoeba histolytica.
© Institut Pasteur I00259
Amibiase intestinale -
Coupe histologique d'intestin infecté par Entamoeba histolytica. Stade trophozoïte mononucléé transmis par ingestion d'eau ou d'aliments crus souillés par des matières fécales. 90% des infections sont asymptomatiques, le reste peut causer des hémorragies gastrointestinales résultant en dysenteries, des péritonites aigües ou des abcès hépatiques.
© Institut Pasteur I00253
Coupe histologique d'intestin infecté par Entamoeba histolytica -
Coupe histologique d'intestin infecté par Entamoeba histolytica. Stade trophozoïte mononucléé transmis par ingestion d'eau ou d'aliments crus souillés par des matières fécales. 90% des infections sont asymptomatiques, le reste peut causer des hémorragies gastrointestinales résultant en dysenteries, des péritonites aigües ou des abcès hépatiques.
© Institut Pasteur I00254
Coupe histologique d'intestin infecté par Entamoeba histolytica -
Coupe histologique d'intestin infecté par Entamoeba histolytica. Stade trophozoïte mononucléé transmis par ingestion d'eau ou d'aliments crus souillés par des matières fécales. 90% des infections sont asymptomatiques, le reste peut causer des hémorragies gastrointestinales résultant en dysenteries, des péritonites aigües ou des abcès hépatiques.
© Institut Pasteur I00256
Coupe histologique d'intestin infecté par Entamoeba histolytica -
Amibiase hépatique dûe à l'essaimage par voie porte de l'infection amibienne intestinale qui peut provoquer la formation d'abcès et d'hépatomégalie.
© Institut Pasteur I00258
Coupe histologique de foie infecté par Entamoeba histolytica